Texte et mise en scène : Noémie Terrail
Avec : Laëtitia Delaunay, Jessica Frique, Aline Pont-Perrier et Noémie Terrail
Jocaste se trouve coincée dans les Enfers où elle cherche désespérément le Léthé, le fleuve de l’oubli.
Elle veut boire de ses eaux pour enfin tout effacer de sa vie antérieure et se réincarner sur terre.
Elle rencontre des inconnues qui devinent son identité et qui semblent tout savoir sur elle, au point de lui raconter leur propre version de sa légende.
Ces femmes ont trouvé le Léthé et pourront peut-être l’y conduire… On raconte que sa surface est si tranquille qu’on peut s’y voir comme dans un miroir…
Jocaste est la mère, la femme, l’amante, la complice d’un des criminels les plus connus au monde… Œdipe.
Mais c’est bien ce dernier, dont le prénom est à jamais associé à un célèbre complexe psychanalytique, qui cristallise le mythe. Celui d’un homme qui tue son père et couche avec sa mère.
Quelle est l’histoire de cette femme qui se présente comme une coupable innocente ?
Le texte, entièrement composé en alexandrins, se mêle aux musiques rock, pour embarquer le spectateur dans un univers mythologique intemporel.
Elle veut boire de ses eaux pour enfin tout effacer de sa vie antérieure et se réincarner sur terre.
Elle rencontre des inconnues qui devinent son identité et qui semblent tout savoir sur elle, au point de lui raconter leur propre version de sa légende.
Ces femmes ont trouvé le Léthé et pourront peut-être l’y conduire… On raconte que sa surface est si tranquille qu’on peut s’y voir comme dans un miroir…
Jocaste est la mère, la femme, l’amante, la complice d’un des criminels les plus connus au monde… Œdipe.
Mais c’est bien ce dernier, dont le prénom est à jamais associé à un célèbre complexe psychanalytique, qui cristallise le mythe. Celui d’un homme qui tue son père et couche avec sa mère.
Quelle est l’histoire de cette femme qui se présente comme une coupable innocente ?
Le texte, entièrement composé en alexandrins, se mêle aux musiques rock, pour embarquer le spectateur dans un univers mythologique intemporel.
" Tu ne pouvais manquer, alors, de reconnaitre
Celui que tu portas, que tu avais fait naître.
La même prophétie, par deux fois répétée.
Tes traits si singuliers, par ses traits reflétés. "
Celui que tu portas, que tu avais fait naître.
La même prophétie, par deux fois répétée.
Tes traits si singuliers, par ses traits reflétés. "
Contact : Noémie Terrail - 06.70.56.44.29 - compagnie.kafeine@gmail.com
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Article paru dans Le Crestois
Article paru dans Le Dauphiné
